Wiktoria


Andréa Vamos


Zoé Tullen


Raphaël Maman


Lou Le Forban


Thibaut Huchard


Timo Herbst


Joël Harder


Célia Coëtte


Geoffrey Badel


Alex Ayivi


Le Houloc


Marie Havel


Félix Pinquier


Benoît Piéron


Julia Gault


Léa Dumayet


Alexis Chrun


Lou Chenivesse


Floraent Audoye


Violaine LOCHU


Melissa BOUCHER


Lise STOUFFLET


Flavie L.T


Raphael TIBERGHIEN


Ulysse BORDARIAS


Victoire BARBOT


Victor LEVAI


Victor VAYSSE


Abbaye Saint-André, centre d’art contemporain de Meymac

Il y a beau temps que les artistes n'ont plus la volonté de représenter le réel (s'ils l'ont jamais eue…).


Rouge, couleur de l’engagement

Cet été, au Château La Dominique à Saint-Emilion, le rouge est - aussi - la couleur de l’engagement. Après une première édition l’année dernière très remarquée (Le rouge des villes et des forêts), la nouvelle proposition du commissaire d’exposition Guillaume de Sardes prolonge la réflexion autour de la place du rouge dans l’art. Elle regarde du côté du l’engagement politique, à prendre dans le sens plus large de tout ce qui touche la « polis », c’est à dire la vie de la cité.


Inventaire au Frac Rouen

L'une des spécificités de ce FRAC est de montrer chaque année une rétrospective historique et chronologique de sa collection. Ainsi, cette année, il expose toutes les oeuvres acquises en 2003 et 2004. Elles sont présentées par ordre d'achat (correspondant aux numéros d'inventaire), dans une approche systématique.


Le SHED, centre d’art contemporain de Normandie

Les régions françaises sont pleines de surprises ! En voici une qui ne peut que nous réjouir.
Le SHED, installé dans la banlieue de Rouen, nous propose en cet été deux expositions, aussi différentes qu'elles sont en cohérence. Ou plutôt une exposition double, avec le même titre : "Matrice".


Rencontre avec Minia Biabiany, lauréate 2019 du prix Sciences Po pour l’art contemporain.

Minia Biabiany, tout juste lauréate du prix Sciences Po pour l’art contemporain 2019, a accepté de s’entretenir avec Artaïs avant son retour à Mexico, ville où elle réside et travaille, sur sa dernière installation au Crac Alsace où, suite à une résidence de production entre mai et juin 2019 elle vient de vernir l’exposition collective, Le jour des esprits est notre nuit. (Lire notre article dédié)


« De mémoire » Pauline Bazignan, au Fort Saint-André

Dans le texte introductif à l’exposition, Philipe Bélaval, président du Centre des monuments nationaux souligne l’accord profond du lieu et de l’artiste, en préalable à toute présentation d’art contemporain dans un environnement patrimonial. Avec l’exposition « De mémoire » de Pauline Bazignan, présentée au Fort Saint-André de Villeneuve-lez-Avignon, il est évident que cet accord profond a eu lieu tant la proposition artistique résonne sensiblement avec l’édifice fortifié. Pour découvrir l’ensemble des œuvres, toutes réalisées pour l’exposition,  il faut parcourir le lieu dans son entier, prendre des escaliers de pierre aux marches irrégulières, être attrapé par la lumière découpée d’une meurtrière, traverser le chemin de ronde à la vue panoramique (magnifique !), passer d’une salle voûtée à une autre - à la charpente démesurée -, certaines laissées vides…


Les Amazones à l’honneur à la Fondation Villa Datris, espace Monte-Cristo

"Tissage, tressage.. quand la sculpture défile à Paris !" est la reprise par l'espace Monte-Cristo de l'exposition à l'Isle sur la Sorgue organisée en 2018 par Danièle Kapel-Marcovici mécène et fondatrice, qui avait recueilli un vif succès (45 000 visiteurs).


Charlie BOISSON à l’Ahah

Dans "Équation de l'objet trouvé", Breton évoque une promenade avec Alberto Giacometti aux puces de Saint-Ouen. "Un Hasard Objectif"1 lui permit ce jour-là de tomber sur un bois sculpté en cuiller à talon, comblant le manque d'une pantoufle de Cendrillon dont il réclamait en vain un modelage à son ami : il comprend alors que la trouvaille d'objets est révélatrice et symbole, comme le rêve, de désirs cachés, incarnés également par le masque qui séduisit Alberto au cours de la même sortie.


IO BURGARD, LA FORCE DES UTOPIES

L’installation présentée en 2018 par Io Burgard au MRAC de Sérignan, offre une bonne porte d’entrée dans l’ensemble de son travail. Elle avait pour titre La Bête dans la jungle et s’inspirait de la nouvelle du même nom publiée par Henry James en 1903. Le destin du héros de James, John Marcher, avait frappé Io Burgard, car elle y voyait une ressemblance avec celui de l’artiste.


28è ÉDITION DE L’ART DANS LES CHAPELLES

A partir du 05 juillet, L’art dans les chapelles revient pour sa 28ème édition. Presque trente ans après sa première occurrence, la manifestation d’art contemporain continue de faire vivre le territoire du Centre Bretagne, dans le Pays de Pontivy et la Vallée du Blavet.


IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST

Nouveau chapitre dans l’histoire du Frac qui rejoint le bâtiment de la MÉCA, Maison de l’Economie créative et de la culture en Nouvelle-Aquitaine. Ce signal fort, porté par l’architecture de Bjarke Ingels sur 12 000 m² sur l'axe stratégique des bords de la Garonne, élargit la vocation du Frac vers des pratiques encore plus transversales et innovantes, par le biais, notamment, du pôle innovation & création, en lien avec le dynamisme des entreprises néo-aquitaines. Le défi porté par Claire Jacquet, directrice de ce 6ème Frac « nouvelle génération », replace la collection - de l’ordre de 1200 œuvres - sur plus de 37 ans, au cœur du dispositif et maillage du territoire. C’est donc un évènement que symbolise l’exposition inaugurale : "Il était une fois dans l’Ouest". 


Rencontre avec Sophie Auger-Grappin, directrice du centre d’art, le Creux de l’Enfer (Thiers)

Nous retrouvons Sophie Auger-Grappin non plus au Centre d'art de l'Onde dans les Yvelines mais en Auvergne à Thiers où elle a pris la direction du centre d'art contemporain le Creux de l'Enfer, situé vallée des Usines. Un défi à plus d'un titre dont elle nous rappelle les enjeux et qui rejoint son engagement pour la création contemporaine. 


Rencontre avec Colette Barbier, directrice de la Fondation d’entreprise Ricard

C’est à l’occasion de la conférence de presse organisée par le Frac Hauts de France autour de la future triennale Gigantisme, que Colette Barbier nous reçoit à la Fondation d’entreprise Ricard qui expose le nouveau volet du Musée des Erreurs de Pierre Leguillon, de retour d’une résidence au Japon. Aussi élégante que précise et convaincue, Colette Barbier est revenue sur l’ADN et l’essor de la Fondation qui se matérialise à présent par un budget de plus d’1 million d’euros et des rendez-vous devenus incontournables, tels que le Cinéphémère et le fameux Bal Jaune pendant la FIAC.


Quand les peintures deviennent formes mouvantes

Mathilde Denize (née en 1986), dont je découvre le travail lors de sa participation à l’exposition collective « Les fragments de l’amour » au Centre d’art La Traverse à Alfortville en 2015, investit cette année le très bel espace au dernier étage du Musée des Beaux-arts de Dôle.
En préambule de notre visite, Amélie Lavin, la directrice du musée, m’indique avoir invité l’artiste suite à l’exposition collective de 2017, « Peindre, dit-elle » chapitre 2, à laquelle elle participait parmi une quarantaine de plasticiennes, toutes conviées à présenter des œuvres envisageant la peinture dans sa pluralité.


LES PROJETS INÉDITS DU CRP/, DOUCHY-LES-MINES

Le CRP/ Centre régional de la photographie Hauts-de-France, fondé en 1982, est riche de plus de 9 000 oeuvres. Dans cette collection, la commissaire Béatrice Andrieux a choisi une soixantaine de photographies, inédites, jamais exposées, produites par le CRP/, achetées aux artistes ou données par ceux-ci. Elle présente neuf artistes vivants, dans un champ de l'histoire de la photographie de 1982 à 1998, avec une diversité de thèmes et de techniques. Le territoire du Nord-Pas-de-Calais est principalement mis en exergue à l'exception de la série Home (1992) d'Anthony Haughey présentant le quotidien de quatre familles ouvrières de la communauté irlandaise de Belfast.


58ème Biennale d’art contemporain de Venise

L'ouverture de la Biennale de Venise est toujours un moment très excitant mais également frustrant et fatiguant vu l'ensemble des propositions impossibles à toutes satisfaire.


Coup de foudre

C’est comme ça qu’ils s’aiment, Nathalie Talec et Fabrice Hyber !
Pour cette exposition en duo, les deux artistes ont choisi de se rassembler par leur création artistique, et le pas de deux HyberTalec qu’ils mènent ensemble ressemble à un grand jeu de rôles plein de couleurs et de style, tour à tour ludique, sérieux, extravagant, et passionné.


LA GACILLY, À L’OUEST COMME À L’EST, DU NOUVEAU

Eclairer le monde grâce aux regards des photographes, voir là où nous n’irons jamais, déplacer la pensée vers des endroits inconnus, rendre compte de cultures ignorées, susciter les discussions, le Festival Photo La Gacilly, par la bouche de son directeur artistique Cyril Drouhet à la conviction inébranlable, ne craint pas d’affirmer sa veine militante et son soutien à une photo éthique et humaniste. La dimension politique et démocratique est au cœur même du projet et la programmation est une incitation à débattre des grands enjeux environnementaux et sociétaux.


Camille RICHERT, tutrice pédagogique du prix Sciences Po : Entretien

Il s’agit d’un prix étudiant qui se doit d’être à la hauteur de l’image de Sciences Po : un prix de qualité qui puisse fédérer des étudiants qui sont intéressés par l’art contemporain, mais qui n’auraient pas encore le recul professionnel requis. Suivre la ligne du Prix c’est avoir une thématique qui leur tient à cœur, comme celle de la succession, car elle inclut les questions d’écologie, mais également de renouvellement de la scène artistique et de perpétuation d’un projet fort de neuf éditions précédentes dont il faut inventer la continuité. Parfois on oriente les élèves, mais le but est qu’ils tiennent à leur thème. Il n’y a pas de thèmes tabous ; en revanche, on veille à privilégier des sujets suffisamment larges qui puissent être embrassés par un certain nombre de lectures par les artistes et qui recoupent les intérêts des étudiants.


Auloffée : un itinéraire

Mouvement d’un voilier venant au vent, l’auloffée évoque une traversée en mer. Les œuvres présentées au fil du parcours d’expositions « Auloffée : un itinéraire » résonnent avec la proximité des dunes ondulantes, vastes ensembles mouvants aussi majestueux qu’énigmatiques. Ces paysages à arpenter paraissent sans frontières. Presque mythiques, ils induisent une circulation des éléments et des personnes. Quel est le potentiel poétique d’un tel contexte géographique ?
La constitution des dunes repose sur l’infiniment petit : le vent fait voyager les grains de sable et dessine au fil des siècles une forme immense qui se prolonge à l’horizon. Dans un va-et-vient, on retrouve ces sensations parsemées au fil des œuvres, du Nord-Est du Brésil au Pyla.


GILGIAN GELZER, LE DESSIN COMME PAS DE DEUX

Studio de chorégraphe ou atelier d'artiste ? Dans son atelier parisien du XIIIe arrondissement, Gilgian Gelzer (né en 1951 à Berne) semble danser. " Tout mon corps s'implique dans cette relation physique, cet échange, cette rencontre avec la feuille de papier. C'est même un pas de deux que j'entame, dans ce dialogue avec la feuille accrochée au mur pour les grands formats ou posée sur la table pour les petits. Je travaille toujours debout dans ce départ du rien pour un nulle part. C'est une quête, un chemin.


LIGNES DE VIES

Depuis son ouverture en 2005, le MAC VAL a fait de la question de l’identité un de ses thèmes de prédilection, avec, entre autres, l’exposition collective, Emporte-moi/Sweep me off my feet, en 2009, qui analysait la place de l’économie ou de l’émotion dans nos existences ; avec, en 2015, Chercher le garçon, qui interrogeait les codes de la masculinité et du genre ; ou, en 2017, avec Tous, des sang-mêlés, qui remontait à la source de nos racines culturelles et originelles.


ART ET UTOPIE AU PAYS DES SOVIETS

Dès le lendemain de la Révolution d’Octobre 1917, les artistes, sur l’injonction de Vladimir Maïakowski, proclament une fête de l’art destinée à tous dans les rues, les théâtres, les usines, véhiculée par les trains de l’"agit prop" de masse et les affiches Rosta.


Rencontre avec Diane Dufour, fondatrice et directrice du BAL

Directrice de 2000 à 2007 de Magnum Photos, Diane Dufour crée LE BAL en 2010 avec Raymond Depardon, dans une ancienne salle du Paris des années folles.
Pensé comme une plateforme autour des enjeux de l'image-document, et reconnu internationalement pour l'exigence de sa ligne et de ses expositions, LE BAL déploie parallèlement ses actions d’éducation à l’image avec son pôle pédagogique La Fabrique du Regard.


THÉO MERCIER, EVERY STONE SHOULD CRY

Théo Mercier sculpteur et metteur en scène pour le spectacle vivant trouve, pour la seconde fois, au musée de la Chasse et de la Nature, le lieu idéal pour installer ses sculptures. Elles associent objets ou œuvres d’art populaire collectés lors de ses voyages. Explorateur, il propose un nouveau regard sur cet espace riche en histoires et mystères. Il interroge les projets de scénographie des musées en troublant les modalités d’accrochage, de l’étalage du magasin au cabinet de curiosités jusqu’à l’aire de jeu. « Je ne crée pas seulement une exposition mais plus profondément, un environnement, une sorte de décor d’exposition. » affirme-t-il.


ALICJA KWADE AU CCC OD DE TOURS

Situé en plein cœur du quartier historique de Tours, le CCC OD* invite cette année, et ce dans le cadre de la manifestation internationale “Viva Leonardo Da Vinci, 500 ans de Renaissance(s)“, l’artiste polonaise Alicja Kwade à investir la magnifique nef aux larges baies vitrées ouvertes sur la ville et l’église Saint Julien.


SPIRITUALITÉ ET ONIRISME AVEC GYAN PANCHAL

Au lendemain du 30ème anniversaire du MAMC de Saint-Etienne, la nouvelle directrice Aurélie Voltz nous annonce, en préambule de la visite, sa volonté d’inviter une fois par an un artiste en milieu de carrière à investir cette nouvelle et vaste architecture et ce en résonnance avec la riche collection du musée.


SUR LE CHEMIN DES ABBAYES NORMANDES

Riche de plus de 2 600 œuvres, le Fonds régional d'art contemporain Normandie Rouen, dans sa mission de diffusion de sa collection sur le territoire, prend le chemin des abbayes de la région.


Anaïs TONDEUR – Paris Flotte-t-il ?

À la sortie de l’école Rudolf Steiner où la pédagogie Waldorf n’opère aucune distinction entre nature et culture, Anaïs Tondeur passe par le Royal College of Arts et la Saint Martin School avant d’entamer, en poétesse exploratrice spéléologue, une série de résidences entre art et science, lors desquelles s’enracineront des mises en fictions problématologiques, à la lisière du visible et de l’invisible, constructions historiques et savoirs, mythes et légendes, passé et présent, conscientisant au moyen de médiums classiques ou d’avant-garde, nos ancrages écocides dans l’évolution du monde.


FONDATION CARTIER, SCÈNE ÉMERGENTE EUROPÉENNE

L’exposition « Jeunes artistes en Europe. Les métamorphoses » présente 21 artistes de 16 pays européens, choisis par l’équipe de la Fondation Cartier à l’issue d’une année de prospection sur le continent. « Quand on partage, c’est toujours mieux ! » entend-on dans la vidéo de Jonathan Vinel, réalisée à partir du jeu vidéo Grand Theft Auto V…


Portrait : Edouard Le Boulc’h

Dans son texte Le moment de la danse, le philosophe Jacques Rancière revient sur ce qu’il nomme « le partage du sensible ». Ces gestes, formes, et pratiques qui nous permettent, à différents niveaux de perceptions, d’accepter collectivement ce qui relève de l’Art et ce qui n’y appartiendrait pas. Plus l’histoire avance et les bouleversements esthétiques se produisent, plus des éléments divers entrent dans ce paradigme.


BERLIN GALLERY WEEKEND 2019

En cette fin avril 2019, nous choisissons l’option du Weekend des galeries à Berlin à cette date concomitante d’Art Brussels et du salon Arte-Monte Carlo.
Avec cette chance d’arpenter la capitale européenne instituée de l’art contemporain sous un beau soleil de printemps, le long de ces longues avenues arborées en compagnie de nos amis Helena et Otto qui, pour l’occasion, nous offraient l'hospitalité dans cet accueillant quartier de Süd Mitte.


Samedi 18 mai à 14h Visite du Salon de Montrouge en présence des commissaires samedi 18 mai à 14h

Comme chaque année, le Salon de Montrouge accueille la fine fleur des jeunes artistes de France et d’ailleurs.


THU-VAN TRAN, 24 HEURES À HANOÏ

24 heures, c’est le temps d’une respiration terrestre et pour l’artiste Thu-Van Tran le temps d’un passage furtif sur les traces de son histoire et de son passé. C’est celui-là même qui nous conduit à la ville d’Hô Chi Minh en 1979, année de sa naissance.


COMMENT AVANCER DANS UN MONDE ABÎMÉ ?

C'est cette question cruciale à laquelle le FRAC Ile-de-France et l'IAC* de Villeurbanne tentent de répondre, avec les propositions de 16 artistes de la collection de l'Institut.


Les collections privées, DE LEUR TEMPS

De leurs temps, après les chasseurs-cueilleurs, Néandertal et Sapiens ornaient les sites funéraires en disposant hiérarchiquement armes, parures, urnes, idoles, en offrande à une éternité digne de chefs-d’œuvre. En toutes civilisations, les princes - barbares ou religieux, collectent trésors spectaculaires en accumulant des trophées en vue des cérémonies d’ostentation de leur pouvoir.


Take care

A travers le soin, c'est nombre de questions très actuelles que pose Take care : le genre, l'identité, l'immigration, la prison, la solidarité, la mondialisation, etc.


GIGANTISME – ART ET INDUSTRIE A DUNKERQUE

Triennale hors norme déployée sur plus de 4000m² sur trois sites emblématiques de Dunkerque : le Frac Grand Large, la friche industrielle de la halle P2 et le Lieu d’Art et d’Action Contemporaine (LAAC), Gigantisme entend réévaluer la création française entre 1947 et 1989 (chute du mur de Berlin), souvent occultée face à la prédominance américaine.


Fondation Verbeke, Ode à la nature et au temps

Fondée par Carla et Geert Verbeke, toujours en construction, jamais achevée, la Fondation Verbeke, située près d’Anvers en Belgique, à quelques kilomètres de la frontière néerlandaise, est le lieu atypique par excellence.


64è SALON DE MONTROUGE

Plateforme de promotion et de soutien essentielle à la création ’aujourd’hui et de demain, le Salon de Montrouge ouvre sa 64è édition


vendredi 26 avril à 18h Plateforme Spacescapes visite avec l’un des commissaires

Cette exposition aborde le geste du dessin par le biais de la performance. Les œuvres révèlent un processus de création durant lequel le corps de l’artiste traverse l’espace et marque le temps.


Rencontre avec Miguel Magalhães, directeur de la Fondation Gulbenkian

C'est à l'occasion de la première monographie en France de l'artiste portugaise Lourdes Castro (née en 1930 à Madère) au Musée Régional d'art contemporain Occitanie/Pyrénées-Méditerranée dont la Fondation Gulbenkian Paris est le partenaire principal, et de l'exposition de l'artiste Alexandre Estrela (né en 1971 à Lisbonne) à Paris, que son directeur Miguel Magalhães a répondu à nos questions.


Les scènes actuelles sud africaines et zimbabwéennes

Bien sûr quand on observe la scène africaine, notre regard se focalise inévitablement vers l’Afrique australe tant elle concentre les grandes figures contemporaines que sont William Kentridge, Marlene Dumas, Kendell Geers, Pieter Hugo, David Goldblatt...


samedi 6 avril à 14h30 visite à la Galerie Michel Journiac

Mémoire de formes est une exposition proposée par les étudiants de l'école des arts de la Sorbonne réunis sous le collectif Petite Surface, en regard du travail de Xavier Veilhan.


samedi 23 mars à 14h30 Parcours à Pantin : CNEAI, Les Grandes Serres, galerie Thaddeus Ropac

L’exposition « Geste » au CNEAI mettant en exergue la délégation du geste transitant par la machine et bouleversant les pratiques artistiques au XXe siècle de Moholy Nagy à Wade Guyton.


Portrait : Florian Mermin

Malgré des avertissements récurrents, le régime furibond des images continue de flatter notre perception égocentrée du monde. Commerciales, aguicheuses, souvent vulgaires, toujours rapides et percutantes, les icônes de l’actualité défilent.


10ème édition du Prix Sciences Po pour l’art contemporain

Né en 2010 à l’initiative de quatre étudiantes de Sciences Po passionnées d’art, le Prix Sciences Po pour l’art contemporain est animé par la volonté de créer une passerelle entre l’Institut d’Études Politiques et le monde de l’art. Chaque année, une nouvelle équipe prend en charge l’organisation de cet évènement qui fédère les étudiants de l’école, de jeunes artistes, des professionnels du monde de l’art, des collectionneurs et des passionnés d’art contemporain.


Matthieu Palud / Tonus : dévotion

Après cinq ans d’existence, ayant vu se succéder des expositions joyeuses et festives dans le garage leur servant d’atelier, Jade Fourès-Varnier & Vincent de Hoÿm ont décidé de clôturer l’aventure du Project Space Tonus situé dans le 15eme arrondissement de Paris, quartier mal-aimé du monde de l’art contemporain.


« où est la maison de mon ami »

L’exposition collective de 20 artistes syriens, clin d’œil au film d’Abbas Kiarostami de 1987, est réalisée par trois femmes commissaires : Paula Aisemberg, Dunia AL-Dahan et Véronique Bouruet Aubertot, qui ont créé le collectif « portes ouvertes sur l‘art contemporain syrien ».


Entretien avec Sandra Patron, directrice du MRAC Occitanie

Alors que s'ouvre au MRAC, deux expositions consacrées à des femmes artistes, Lourdes Castro et Ulla von Brandenburg participant de ce mouvement global de réévaluation de la place des femmes, Sandra Patron est revenue avec nous sur ces enjeux offrant une conjoncture très favorable à l'art


Ami Barak et la scène roumaine à l’espace Niemeyer

Le centre d'art qui nous a offert pendant des années de magnifiques expositions, aussi intelligentes que sensibles, a fermé ses portes en 2015. Elles reviennent aujourd'hui, avec – hélas – moins de moyens, mais une envie constante de remettre de la vie dans ce lieu exceptionnel.


Rencontre avec Léo Marin, commissaire de l’exposition « Mapping At Last — The Plausible Island »

Rencontre avec Léo Marin, commissaire de l’exposition « Mapping At Last — The Plausible Island » à l'occasion du vernissage de ce projet


Rencontre avec Ariane Loze au CACC

Nous avons le plaisir de vous inviter en l’espace du CACC, Centre Albert Chanot de Clamart, à une rencontre avec Ariane Loze le dimanche 17 février à 15h


Visite de l’exposition Scénocosme aux Églises à Chelles

Le 9 février à 15h visite de l'exposition Scénocosme aux Églises à Chelles


Renaissance d’un lieu (presque) mythique : les Eglises, à Chelles

Le centre d'art qui nous a offert pendant des années de magnifiques expositions, aussi intelligentes que sensibles, a fermé ses portes en 2015. Elles reviennent aujourd'hui, avec – hélas – moins de moyens, mais une envie constante de remettre de la vie dans ce lieu exceptionnel.


Filiations fabuleuses

L’exposition « Poésie prolétaire » à la Fondation d’entreprise Ricard, organisée par François Piron, réunit trois artistes, longtemps restées dans l’ombre, et trois jeunes plasticiennes.


Dans la caverne, l’alternative ?

Project Space, Artist-Run Spaces, non profit space, lieux indépendants, espaces alternatifs : autant de qualifications pour définir des lieux d’exposition au format protéiforme, créés par des artistes ou commissaires d’exposition (dans des ateliers, des appartements, vitrines, espaces itinérants, parkings, hangars, locaux adossés à une galerie marchande ou non, associations).


Gilles FUCHS : L’Art c’est la Vie

Entre l’immeuble où mourut Voltaire et celui où Baudelaire écrivit les Fleurs du mal, dans les locaux où vécut Noureev, siège l’ADIAF, Association pour la Diffusion Internationale de l’Art Français.


À la MABA : Qu’est-ce que la vérité ?

L'ère des infox, face à l’émergence des phénomènes de délation #meetoo, et climato-scepticismes réchauffés, nous ramène par censures, diffamations, insinuations, et autres calomnies, à l’âge des chasses aux sorcières - terme tweeté en moyenne 7 fois par mois par Trump1.


VOUS AVEZ DIT PEINTURE ?

L’exposition collective de 20 artistes syriens, clin d’œil au film d’Abbas Kiarostami de 1987, est réalisée par trois femmes commissaires : Paula Aisemberg, Dunia AL-Dahan et Véronique Bouruet Aubertot, qui ont créé le collectif « portes ouvertes sur l‘art contemporain syrien ».


PRIX DAUPHINE

Après l’appel à candidature, des étudiants de l'Université Paris-Dauphine sélectionnent une douzaine de dossiers sur la centaine reçue, la transmettent à un jury, composé de professionnels de l’art contemporain, qu’ils ont désigné et constitué.


Laëtitia Badaut-Haussmann et le divan de la psy

"Chez Fabre", la psychanalyste Annabelle Ponroy lance un nouveau format d'exposition sous forme de cartes blanches annuelles, dans son appartement qui est aussi son lieu de travail. Une modularité qui a séduit l'artiste invitée par la curatrice Alexandra Fau à inaugurer le projet, accompagnée de sa galerie Joseph Allen.


Mircea Cantor, chasseur de traditions

Saison France-Roumanie 2019 faste pour Mircea Cantor (né en 1977 à Oradéa, Roumanie), présent dans les expositions collectives Lux.


DRAWING NOW ART FAIR

Pour cette 13è édition, l’incontournable Drawing Now s’installe une fois encore au Carreau du Temple avec 65 galeries internationales et
14 pays représentés. À découvrir du 28 au 31 mars 2019 !


Constance Nouvel, vers un nouvel horizon de l’image 

Sortir du cadre, poser les limites du medium photographique, explorer le hors champ, interroger l'architecture, la sculpture, l'objet... autant d'enjeux que développe Constance Nouvel (née en 1985 à Courbevoie), jouant de l'illusion et de la profondeur de l'image.


Maxime VERDIER

Près de la tombe de Marcel Duchamp, l’ancienne école des beaux-arts de Rouen - d’où s’est d’abord diplômé Maxime Verdier, est installée depuis 1940 dans l’Aître Saint-Maclou, qui servit sous les deux pestes noires1 de cimetière-charnier et devint vite la seule galerie d’ossuaires admirable de France.


LOUIS-CYPRIEN RIALS

Louis-Cyprien Rials (1981) aime se déplacer dans les bordures du monde. À peine revenu, surgit l’envie de repartir. Il est sensible aux répartitions des territoires, aux frontières, aux zones non reconnues internationalement (Somaliland).


En double aveugle, Jean-François Leroy

La production artistique de Jean-Francois Leroy réside en une réactivation de formes véhiculées dans le monde industriel et le design de notre quotidien. Très marqué par le travail de Blinky Palermo, et de fait par le constructivisme et le minimalisme, il initie un dialogue entre pictural et sculptural dans un rapprochement forme/fonction tout en gardant à l’esprit le rapport au corps.


Alexandre Estrela, Fondation Gulbenkian

Alexandre Estrela (né en 1971, Lisbonne) dont l’oeuvre se situe à la croisée des arts visuels et du cinéma expérimental, parle de « machines de perception » engageant notre ouïe, notre vision, notre rapport aux objets et à l’espace.


Palimpseste, à la Graineterie, une étendue du temps

A l’origine, le palimpseste est un parchemin manuscrit dont on a effacé la première écriture pour pouvoir écrire un nouveau texte.


ART PARIS 2019

Art Paris a 21 ans, trois fois l’âge de raison. « Son ton, c’est une ligne affirmée par des focus, chaque année nouveaux » souligne Guillaume Piens, commissaire général depuis 2012


L’inventaire existentiel d’Ariane Loze

L’artiste Ariane Loze, l'une des lauréates du salon de Montrouge 2018, a étudié la mise en scène et les arts dramatiques à l’institut bruxellois du RICTS. Une phrase d’un professeur reste en sa mémoire : « jouer, c’est être entier et sans aucune honte ».


Portrait de MOUNTAINCUTTERS

Mountaincutters, duo d’artistes sculpteurs et poètes, présente l’exposition protéiforme Spolia, dont le projet curatorial a été pensé par Guillaume Désanges.

Originaires du sud de la France et fréquentant aujourd’hui les faubourgs de Bruxelles, le duo développe une pratique in-situ de la sculpture et de l’installation. Chaque lieu d’intervention devient un moment particulier où se déploient des formes, des objets, des textes, et des images. En écho de ces installations résonne toujours un corps, celui absent et invité à venir parcourir ces espaces de décélération. Assises, mobiliers, portants, sont autant de vocabulaires formels récupérés et présentés dans une esthétique décroissante, dystopique, voire parfois apocalyptique.


NOVEMBRE À VITRY

Avec l’Arbre de la connaissance, présenté au salon Novembre à Vitry, Antoine Carbonne renoue avec la peinture ésotérique.


Rencontre avec Laetitia Badaut-Haussman chez Fabre

Janvier
Rencontre avec Laetitia Badaut-Haussman chez Fabre


Les rencontres d’Artaïs Gaëlle Choisne

Jeudi 13 décembre à 19h
Les rencontres d’Artaïs Gaëlle Choisne


Paris Photo, les 10 immanquables

Parmi les nouveautés de cette 22è édition de Paris Photo, le parcours "Elles x Paris Photo" sous la houlette du Ministère de la culture et curatée par Fanny Escoulen pour écrire une autre histoire de la photographie et le secteur "Curiosa" qui ouvre sur la thématique du corps et du sexe dans un espace dédié qui rassemble 14 galeries. Florence Bourgeois se dit heureuse du résultat et de la cohérence qui en ressort suite aux choix de la jeune commissaire, Martha Kirszenbaum.


OVNi 2018, Nice sur orbite, un vrai potentiel révélé !

Pour cette nouvelle édition, la fusion d'OVNi festival et de la foire Camera Camera place la vidéo à Nice en orbite et conforte la démarche d'Odile Redolfi directrice du Windsor, même si le positionnement de la foire n'est pas encore optimal entre déambulations en chambres et marquage commercial. Il est certain que la vidéo reste toujours un exercice périlleux à vendre et à montrer.


Pavillon, exposition de Guillaume Perez à l’INSA1 de Lyon

L’exposition Pavillon, à l’INSA Lyon, réunit de nouvelles pièces de Guillaume Perez, ainsi qu’une photographie de Walker Evans (Sans titre, 1936) prêtée par l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne (FRAC Rhône-Alpes) dans le cadre de « Collection à l’étude ».


ARTAGON IV AUX MAGASINS GÉNÉRAUX DE PANTIN

Pour sa 4ème édition, Artagon, créé en 2015 par Henri Keimis et Anna Labouze, investit cet automne le nouveau centre de création des Magasins Généraux à Pantin. Artagon, dont le terme « agon » désignait un concours dans la Grèce antique, est un projet international de recherche, consacré aux étudiants en art, et qui s’articule autour de l’exposition Heading East regroupant cette année 32 artistes en devenir.


AKAA, « ALSO KNOWN AS AFRICA »

Pour sa 3ème édition, la foire AKAA « Also Known As Africa » propose comme son titre l’indique, de dessiner une nouvelle cartographie de l’art contemporain africain en initiant un dialogue avec le Sud Global – Asie, Amériques et Moyen-Orient. Les artistes voyagent, collaborent et s’imprègnent des lieux qui les entourent dans un monde aujourd’hui globalisé et connecté. Comme le mentionne Simon Njami, membre du Comité de sélection (constitué de deux galeristes et deux curateurs), « il n’existe pas une Afrique mais des Afriques ».


PRIX MARCEL DUCHAMP 2018

Pour sa 18ème édition, le Prix Marcel Duchamp créé en 2000 par l’ADIAF - Association pour la diffusion internationale de l’art français – et organisé dès l’origine en partenariat avec le Centre Pompidou, dévoile les propositions des quatre finalistes Mohamed Bourouissa, Clément Cogitore, Thu Van Tran et Marie Voignier au travers d’une exposition collective sur un commissariat de Marcella Lista, conservatrice au musée national d’art moderne.


LES ATELIERS DE RENNES

La sixième édition des Ateliers de Rennes, biennale d’art contemporain, présente une trentaine d’artistes de treize nationalités différentes au sein de différents lieux dans la ville. Pour cette édition, le commissariat de l’exposition a été confié à Céline Kopp (directrice de Triangle France, centre d’art à Marseille) et Etienne Bernard (directeur de Passerelle, centre d’art de Brest).


FRANZ WEST, RÉTROSPECTIVE

Peut–on prendre au sérieux un artiste qui affirme dans sa biographie « Dans les années 1980, j’ai acquis une identité – celle de militant se battant pour l’émancipation du meuble» et qui propose de remplir la bouche de sculptures avec des détritus pour qu’elles aient « mauvaise haleine » ?


CARTE BLANCHE À JAN DIBBETS À LA BNF

Rencontre inédite entre le haut Moyen-Âge et l'art contemporain, l'exposition met en regard cinq manuscrits enluminés copiés entre 847 et le XIIe siècle dont De laudibus sanctae crucis ou Louange à la sainte croix (810-814) livre de Raban Maur (780-856) théologien et grammairien de la renaissance carolingienne et le Panegyricus Constantino missus du Romain Optatianus Porfyrius (éloge panégéryque de Constantin 1er), avec une trentaine d’œuvres choisies par Jan Dibbets, dans un dialogue que sépare plus d'un millénaire.


LA BEAUTÉ DES LIGNES À LA MAISON CAILLEBOTTE

Afin de prolonger l’esprit de la famille Caillebotte, la ferme Ornée de la propriété éponyme située à Yerres, accueille cet automne, en résonnance avec le salon Paris Photo, une des plus importantes collections privées d’œuvres photographiques.


Prix RICARD 2018 : philanthropisme circulaire

Le Prix de La Fondation d’entreprise Ricard fête l’âge de l’émancipation en invitant Neil Beloufa, artiste tutoyant les limites de la perception, à penser sa vingtième édition.
Il articule une déambulation nonchalante à la faveur de décloisonnements artistiques. Aux deux extrémités sont conviées deux mini expositions.


ANA MENDIETA AU JEU DE PAUME

Malgré une carrière relativement courte (de 1971 à 1985) l'artiste cubano-américaine Ana Mendieta (La Havane, 1948-New York, 1985), internationalement reconnue comme pionnière dans l'avènement des arts visuels d'après guerre n'avait pas bénéficié en France jusqu'alors d'une exposition de l'ampleur de celle proposée par le Jeu de Paume, axée sur son œuvre filmique à partir de 20 films dont 6 inédits et près de 30 photographies.


RON AMIR : QUELQUE PART DANS LE DÉSERT

Première exposition personnelle de l’artiste Ron Amir en France, « Quelque part dans le désert » présente 30 photographies grand format et 6 vidéos, marquées par une absence… toute relative.


LES APPARENCES, ÊTRE ET PARAÎTRE À LA GRAINETERIE

Maud Cosson, directrice de la Graineterie, centre d'art de la ville de Houilles, propose pour cette rentrée, une exposition collective d'artistes uniquement féminines en réponse aux enjeux actuels de prise de conscience de discriminations faites aux femmes et d'une parole libérée sur ces sujets sensibles. La sélection volontairement non exhaustive mêle artistes confirmées ou plus émergentes selon le parti prix du centre d'art. 


« Les Apparences »

Samedi 13 Octobre
La Graineterie (Houilles)


Artagon IV

Dimanche 14 Octobre
Rencontre avec les artistes de « Heading East ! »,  Artagon IV,  aux Magazins Généraux (Pantin)


LE VIVRE ENSEMBLE DE PERSONA GRATA

Deux lieux. Le MAC VAL à Vitry-sur-Seine dans le Val-de-Marne et le musée national de l'histoire de l'immigration à Paris, au bord du périphérique, tel un trait d'union entre ces deux lieux. A travers le prisme des œuvres des collections de ces deux institutions, Persona grata examine les notions, manifestations et contradictions actuelles, construisant ou bousculant les notions d'accueil, d'hospitalité et d'altérité selon le regard de nombreux artistes qui s'en sont emparés.


« Radio », le dernier volet du cycle d’expositions de Katinka Bock

L’exposition « Radio » est le 3ème volet du cycle « Tomorrow’s Sculpture » pensé par Katinka Bock et présenté pour la première fois dans trois institutions de façon consécutive, dont le Kunst Museum de Winterthur, le Mudam de Luxembourg et l'Institut d’art contemporain à Villeurbanne (IAC).


RÉSISTANCE ET DÉTOURNEMENTS DE GAËLLE CHOISNE

Organisation à but non lucratif, Bétonsalon, Centre d'art et de recherche, qui fête ses 15 ans, est le seul centre d'art conventionné implanté dans une université française, Paris Diderot, favorisant activités de recherche et productions artistiques et académiques à partir d'un réseau de partenaires nationaux et internationaux. 


GWENDOLINE ROBIN, SOUS LES LUNES DE JUPITER

Les paysages de sels, les océans déchaînés, les mers congelées des lunes de Jupiter, les paysages arctiques, les mares acides, les carottes de glaces, les pluies de météorites inspirent Gwendoline Robin.


SHIMABUKU

Dans les beaux espaces du CREDAC, une première vidéo : « Eriger » rend compte d’une action mise en oeuvre après le tsunami de 2011 :
« Placer les choses droites. Placer debout les choses couchées. Placer à la verticale les arbres et les pierres qui se trouvent sur la plage. Avec la collaboration de nombreuses personnes, nous placerons de nombreuses choses en position verticale.(...) Alors peut-être en nos coeurs quelque chose se redressera. »


AKI KURODA : COMME UN POISSON DANS L’EAU

Des graffitis, certains en 3D, un immense guerrier solaire de bande dessinée, des éléments du folklore japonais, une petite construction en bois ajourée (salon de thé ? ), une installation d'assiettes et de tasses, intactes ou brisées, des vidéos, des dessins, de la peinture, de la musique, des performances…


Multitudinous Seas : du mythe discursif à la Fondation Hippocrène

Les collectionneurs P. Pepe et I. Kerenidis, respectivement juriste et chercheur en lumière quantique, sont conviés par la fondation Hippocrène en sa 17ème édition de Propos d’Europe.


« Décadence » avec le commissaire Thomas Havet

Mardi 10 Octobre
Visite de l’exposition « Décadence » avec le commissaire thomas Havet et en présence des artistes


Mélanie MATRANGA : Must have

Mélanie Matranga, invitée à tresser son empreinte dans l’héritage de la Villa Vassilieff, façonne pour s’y enraciner un non-lieu blanc - couleur où les traces du temps s’impriment le plus vite, sorte de théâtre de mémoire, paré de représentations mentales, transposées de confection d’objets historiés par l’expérience accrue du désir prétendument libre de posséder.


LES POLLINISATIONS SUBTILES DE PATRICK NEU

Poursuivant ses programmations de monographies sur un temps long, c'est au tour de Patrick Neu d'être invité par l'abbaye de Maubuisson à se confronter à cette architecture rigoureuse et austère où la vie close et recluse égrenait les heures et les jours. Une temporalité qui rejoint celle défendue par l'artiste, chantre de la lenteur et de la simplicité.


Fractures & fracas

Nous vous l’annoncions dans le dernier numéro d’Artaïssime, s’ouvrait ce weekend A Cris Ouverts, sixième édition des Ateliers de Rennes – biennale d’art contemporain.


LES ARTISTES : DES APICULTEURS ?

Des Artistes & des Abeilles. Étonnant rapprochement pour un titre peu commun d’exposition ! En réalité, les artistes sont sensibilisés à cet insecte, dont ils utilisent la cire, parfois les ailes. Indirectement et à travers le parcours proposé, il s’agit d’une façon d’interroger l’impact environnemental sur la biodiversité du fait de la disparition annoncée et angoissante de ce pollinisateur. Ceci nous ramène à l’urgence de l’attention que nous devons porter à cet insecte alors que nous vivons un dysfonctionnement organique de nos sociétés.


JEAN CLARACQ, PEINTURE CRYPTÉE

« Que fait-on quand on regarde une peinture ? Qu’imagine-t-on ? Comment dire ce que l’on devine ? ». Devant les peintures de Jean Claracq (né en 1991) diplômé 2017 des Beaux-Arts de Paris, récompensé cette année par le 2ème Prix Marin et le Prix Roger Bataille, les questions posées face à des oeuvres « classiques » dans le livre « On n’y voit rien » de l’historien d’art Daniel Arasse, restent valables.


Une première réussie pour la biennale de Riga!

A Riga, l’une des plus grandes des capitales baltes,  la première biennale d’art contemporain se déploie cet été sur huit lieux invitant à parcourir la vieille ville, le superbe quartier Art Nouveau ainsi que certains bâtiments et usines désaffectées en périphérie, le port et la station balnéaire Jurmala, prisée à l’époque de l’aristocratie tsariste, avec son cordon de plages de sable blanc et ses maisons en bois aux couleurs pastels.


Les Tanneries, centre d’art contemporain

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


Lubaina Himid, une première française au Mrac Occitanie

Lauréate du prestigieux Turner Prize 2017, Lubaina Himid (née en 1954 à Zanzibar) également commissaire et écrivain, est remarquée pour son engagement autour du Black Art Mouvement se saisissant de l'histoire de l'art occidentale pour questionner le colonialisme, la traite des esclaves et le manque de représentation des Africains dans la culture et les médias.


Lumières en bord de Seine de photographes nordiques

Suivre les méandres de la Seine, entre Rouen et Le Havre, voici l'invitation de Lumières Nordiques. L'idée naquit, comme le souligne Gabriel Bauret, commissaire général, assisté de Chantal Bauret, "en 2014, à l’occasion d’une rencontre organisée à l’Institut Suédois, dans le cadre du Mois de la Photo à Paris".


Portrait : Thomas Vergne

La pratique de Thomas Vergne se concentre sur l’absolu de la peinture. Cet absolu, c’est son origine et son essence. Selon une quotidienneté et une rigueur, la construction des peintures de Thomas Vergne s’organise comme un circuit de travail.


Ghada Amer, le retour

A tout juste un an d'ouverture, le Centre de création contemporaine Olivier Debré a su s'imposer et rencontrer son public, dépassant les objectifs de départ fixés par Alain Julien-Laferrière son directeur. Le double accent mis sur l'artiste Ghada Amer s'inscrit dans une programmation internationale ambitieuse (Norvège, Corée, Allemagne) alternant l'ombre et la lumière dans les espaces avant-gardistes signés des architectes Aires Mateus.


Le duo Pugnaire & Raffini, un été au Havre 2018

Le Portique, centre d’art contemporain du Havre, a réouvert en 2017 triplant sa superficie et offrant une nouvelle vitrine en prise avec le territoire et le public. Agissant comme un véritable laboratoire de formes et d’idées, il présente pour la 2ème édition d' "un été" au Havre, le duo Florian Pugnaire (né en 1980) et David Raffini (né en 1982), invités à investir tout l'espace du lieu.


Renaud Jerez : Un miroir noir aux couleurs acidulées

Renaud Jerez, né en 1982 à Narbonne et vivant à Paris, prend possession d’une partie du rez-de-chaussée des Abattoirs de Toulouse pour sa première exposition monographique en France. Après des études aux Beaux-arts de Lyon puis de Paris, il participe au Salon de Montrouge en 2010 et à la Triennale du New Museum en 2015.


Plein soleil dans les centres d’art contemporain

d.c.a (association française de développement des centres d’art contemporain) (re)met à l’honneur la manifestation Plein Soleil - titre inspiré du film de René Clément -, l’été des centres d’art contemporain.


TEN, des silences en mémoire…

Présentée dans le cadre de l’Eté photographique de Lectoure, TEN la nouvelle installation de Laurent Fiévet prend comme point de départ le roman d’Agatha Christie « Les dix petits nègres ». Nous avons tous en tête cette histoire où les protagonistes réunis sur une île meurent les uns après les autres selon un plan machiavélique.


Devenir au Collège des Bernardins

« Devenir » renouvelle la manière de penser la temporalité de l'exposition. Le Collège des Bernardins poursuit ici sa vocation d'inciter les visiteurs à s'interroger sur l'état du monde. Cette exposition est conçue comme un cycle en trois temps : trois formes de dispositifs, de présentation de l’œuvre. Elle est pensée comme un espace où l’œuvre se révèle en mouvement.


À la maison rouge Ô temps ! suspends ton vol…

maison rouge s'envole ! "Laissez-nous savourer les rapides délices / Des plus beaux de nos jours !" Dernière exposition. Commissariat d'Antoine de Galbert, Bruno Decharme, Barbara Safarova et Aline Vidal. Fin irrémédiable le 28 octobre 2018 pour cet endroit tirant son nom de la maison peinte en rouge enserrée dans un lieu si institutionnel et si atypique, autrefois un local industriel.


L’invention de Morel

L’exposition « L’Invention de Morel ou La machine à images », inspirée du roman d’anticipation de l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares paru en 1940, n’est pas l’illustration de l’œuvre littéraire mais a inspiré les cinéastes dans les années 70, les intellectuels dans les années 80 et enfin les artistes à partir des années 90.


Florian Sumi, Membrains

Membrains est imaginé par Florian Sumi comme un parcours cheminant à travers un ensemble d’installations immersives. Il invite le visiteur à se dédoubler pour suivre, depuis le chemin, les plongées de son double imaginaire dans les installations exposées.


Suzanne Husky, une douce activiste

Suzanne Husky, diplômée des Beaux-arts de Bordeaux et d’une école de paysagisme à Oakland, a pour préoccupation principale la planète, ses ressources et les hommes qui la peuplent. L’art est pour l’artiste un moyen de communication afin d’alerter, si ce n’est changer le monde, à l’aide de messages métaphoriques, en sensibilisant à l’impact de la consommation sur l’environnement.


63e Salon de Montrouge

Un siècle après Rome et Florence, Mazarin souhaite doter la France d’une Académie des Arts fondant également en 1648 une hiérarchie des genres héritée de l’antiquité, instituant les critères des commandes aux artistes.


Évolution continue à l’ENSBA

Un siècle après Rome et Florence, Mazarin souhaite doter la France d’une Académie des Arts fondant également en 1648 une hiérarchie des genres héritée de l’antiquité, instituant les critères des commandes aux artistes.


Prix Sciences Po 2018 pour l’art contemporain

Le service des Projets Collectifs de Sciences Po, organise un prix étudiant d’initiative professionnalisante. Une équipe de cinq personnes sous tutelle d’une responsable est en charge de la 9ème édition souhaitant proposer un thème engagé qui puisse résonner au niveau intime comme sociétal, autour de la volonté de recréer du lien et du sens, des possibles, en faisant advenir une part du monde réel au sein de l’académisme de l’école, en l’interpellant de manière pertinente au moyen de l’Art.


Le Musée sans bâtiment de Yona Friedman

Le concept de l’artiste et architecte débute là : un musée sans bâtiment, ouvert, dans l’espace public, formé de 18 cellules comme celles-ci. Chacune accueille son Meuble+, qui peut être un module d’habitation ou d’exposition. Les habitants du quartier pantinois des Quatre-Chemins sont invités à investir ces cellules, à y passer du temps et même à en construire de nouveaux.


La Banque : 3 expos sinon rien !

Ouvert il y a 2 ans, le centre d'art de 2000 m2 est situé dans d'anciens bâtiments de la Banque de France, qui ont gardé une partie de leur mobilier et de leur caractère. Financé par la commune d'agglomération et les collectivités locales, il produit 80 à 90% des oeuvres exposées.


Le centre ne peut tenir

Pour sa deuxième exposition intitulée Le centre ne peut tenir, la Fondation Lafayette Anticipations nous invite à faire un pas de côté, à tourner notre regard vers les coulisses de notre monde contemporain.


Mathieu KLEYEBE ABONNENC, « Le Palais du paon »

Le rêve américain est ces temps-ci bien mis à mal par les critiques du consumérisme et de l’idéologie du toujours-plus, liées au sentiment d’insatisfaction qui en résulte, alliées au stress et aux déchets générés par la croissance économique. Le capitalisme comme forme économique de l’esclavage n’est plus aux yeux de nombreux chercheurs une simple légende tenace.


Scènes de chasse dans le Marais

A force d’amputations, implantations, hybridations, c’est à une explosion des corps et des pensées que nous assistons.

Laurie Karp est à l’image de son univers : effervescent, foisonnant, baroque. C’est cet univers que nous dévoile cet été le Musée de la chasse et de la nature, avec l’exposition Seven lakes drive, nommée d’après cette grande forêt à proximité de New York, où l’artiste a passé son enfance. Un bout de nature - et pourtant si peu naturel ! - d’où émerge l’image centrale de l’ours.


Fables, formes, figures

Pour les philosophes grecs, la géométrie était l'expression des mathématiques, et les mathématiques, l'origine et l'explication de toutes choses.
Même si elle n'est pour la plupart d'entre nous qu'une ennuyeuse discipline scolaire, elle a présidé à la construction des oeuvres à travers toute l'histoire de l'art. Notre oeil reconnaît, parfois sans que nous en ayons conscience, un cercle ou un losange, un triangle ou un carré, dans toute image qui s'offre à nous.


Le paradoxe de l’iceberg au Château de Rentilly

Tiré du titre de l'un des dessins de Christine Deknuydt (1967-2000) présentés sur les deux murs du fond des deux étages du château, l'exposition met en relation des pièces d'artistes importants, historiques ou contemporains, des années 60 à aujourd'hui, de Carl Andre à Julien Creuzet.


L’art dans les chapelles

La 27è édition de L’art dans les chapelles permet au  public de découvrir les propositions des artistes de chapelle en chapelle, de scruter le patrimoine du XV au XIXè en traversant le paysage du Centre Bretagne.


Duchamp dans sa ville !

A l’occasion du cinquantième anniversaire de la mort de Marcel Duchamp, la ville de Rouen, en partenariat avec le Centre Pompidou et la Réunion des Musées Métropolitains, consacre exposition et festival à son enfant terrible, artiste iconoclaste et visionnaire qui a marqué des générations d’artistes jusqu’à aujourd’hui.


« L’Atlas des Nuages »

En passant par l’Alsace, sur la route des vins entre Colmar et Mulhouse, le Centre d’art contemporain de la Fondation François Schneider célèbre son cinquième anniversaire avec une invitation à un voyage onirique.


Biennale d’art contemporain de Liverpool

Bel anniversaire offert par cette 10è Biennale d’art contemporain de Liverpool, qui multiplie cette année les évènements dans la ville et la région, et fête ainsi avec dynamisme ses 20 ans.


Campagne Première à Revonnas

« Art contemporain et patrimoine, la formule n’est pas nouvelle !  » vous dira Fanny Robin, la directrice artistique de l’événement Campagne Première.


Dak’Art 2018 – Biennale de Dakar

Cette édition 2018 met en avant le thème de « L’Heure Rouge », une couleur symbolique du passage à la réalisation… plus que jamais incarnée ici.
Pour le Directeur Artistique de la Biennale, Simon Njami, la formule « L’Heure Rouge » est à la fois un hommage à la pièce « Et les chiens se taisaient », écrite en 1946 par Aimé Césaire, message fort  d’émancipation, de liberté et de responsabilité, et une référence à la signification de cette couleur en alchimie, « le grand œuvre ».


Sergio Verastegui

Sergio Verastegui, artiste d’origine péruvienne vivant à Paris, travaille depuis toujours avec des éléments trouvés ou fabriqués mêlant réalité, fiction et mythologie qu’il agence dans l’espace pour « écrire » un récit qui renvoie à la fois à l’histoire, au présent et à des futurs possibles.

Grâce au dispositif de soutien à la recherche / production artistique du CNAP, l’artiste a réalisé en 2016 un voyage d’exploration au Mexique. Il a suivi dans son enquête quasi policière trois pistes dont il révèle la substance à travers des œuvres déployées dans trois expositions pour trois lieux différents, à la Galerie Thomas Bernard de Paris, aux Ateliers Vortex de Dijon et à la Tôlerie de Clermont-Ferrand, et ce d’avril à juillet 2018.


Lisbonne en mode contemporain : Arco Lisboa !

Pour la troisième fois, Arco Lisboa, antenne de la foire internationale d'art contemporain de Madrid, investit dans le quartier de Belem le magnifique bâtiment de la Corderie Royale, ancienne usine de cordages de la marine portugaise datant du XVIIIe siècle, avec 68 galeries dont une majorité de galeries portugaises et espagnoles. Huit galeries ayant moins de sept ans sont présentées dans la section « Opening » et dix projets spéciaux prennent place dans la section « Projetos ». Une belle occasion de retrouver ou découvrir les artistes de la scène portugaise.

Pendant la foire, la ville aux sept collines se met au diapason de l’art contemporain en proposant des expositions dans les nombreux musées, galeries, fondations et centres d’art… Bien sûr, toujours dans le quartier de Belem, au bord du Tage, l’incontournable Collection Berardo est un passage obligé et permet de voir l’exposition « No place like home » réalisée à l’occasion du 100è anniversaire de Dada et de l’iconique « Fontaine » de Marcel Duchamp.

Le MAAT -musée d’art architecture et technologies- nouveau musée ayant ouvert ses portes en 2016 au bord du Tage, constitué de l’ancienne centrale thermoélectrique Central Tejo datant de 1909 et d’un nouveau bâtiment futuriste recouvert de faïences blanches, propose plusieurs expositions sur le thème du changement climatique. L’artiste américain Gary Hill présente une installation spécifiquement conçue pour l’une des salles de machines de la Centrale électrique, où son et images électroniques envahissent tout l’espace comme des spectres fantomatiques et offrent au visiteur une expérience sensorielle unique. L'artiste argentin Tomas Saraceno investit l’immense salle du nouveau bâtiment avec l'installation Aerocene constituée d’un ensemble de bulles et sculptures transparentes flottant dans l’air, une nouvelle ère dans laquelle les humains pourraient vivre dans des villes aériennes solaires et éoliennes. Enfin l’exposition Éco-Visionnaires propose des visions critiques et créatives en regard des transformations environnementales qui affectent notre planète.


Mohamed Bourouissa au MAM*

Né à Blida en 1978, l’artiste franco-algérien Mohamed Bourouissa interroge la notion d’échanges et de valeur à partir de son intérêt pour les marges, les exclus et les lieux délaissés par l’art contemporain comme la rue et ses rituels.


Massinissa Selmani, Prix SAM 2016

Massinissa Selmani (né en 1980 en Algérie) expose au Palais de Tokyo le fil de ses recherches et voyages en Algérie et Nouvelle Calédonie, autour de la figure militante de Louise Michel, réalisés dans le cadre du Prix SAM.


12è édition du Salon du Dessin contemporain

En mars Paris célèbre le dessin, et différents salons le mettent à l’honneur pour notre plus grand plaisir, dont DRAWING NOW consacré au dessin contemporain. Installées sur les deux niveaux du Carreau du Temple, en plein cœur du Marais, 67 galeries de 14 pays différents proposent de découvrir artistes confirmés ou émergents dans des genres extrêmement variés.


20 ans pour Art Paris Art Fair. La Suisse, invitée d’honneur

Réunissant 140 galeries venues de 20 pays, Art Paris Art Fair 2018 fête ses 20 ans. Pour son commissaire général Guillaume Piens "cette manifestation s'implante dans un sillon européen après avoir exploré et travaillé de nouveaux horizons, de la Russie au continent africain".


Women House | Monnaie de Paris : Métamorphose inclusive

Après l’ouverture de l’exposition Women House à la Monnaie en octobre dernier, décède à 86 ans l'historienne de l’art Linda Nochlin, qui dans Artnews de janvier 1971 posait la question «Pourquoi n’y a-t-il pas eu de grandes artistes femmes ?» fondant ainsi avec l’écrivaine et activiste Lucy Lippard une déconstruction de l’histoire de l’art.


Julien Creuzet, Ikeart

Œuvre inédite, la Fondation Ricard et Bétonsalon s’harmonisent pour étendre solidairement dans leurs deux espaces, la pensée éclectique de Julien Creuzet, le poète.
Le double titre, entre poème et haïku, offre un indice du propos : le mancenillier, arbre à port majestueux parfois inquiétant, classé par le Guiness World Records comme le plus dangereux de la planète. Les esclaves en glissaient parfois le suc, auquel seul l’iguane vert survit, dans les breuvages des négriers.


Linda Sanchez

Après son diplôme Supérieur de Recherche en Art de l'Ecole Supérieure d'Art de l'Agglomération d'Annecy, Linda Sanchez (née en 1983) participe à de nombreuses résidences, ateliers et collaborations. Elle devient lauréate du Prix de la Fondation Bullukian à Lyon en 2013. Elle a été lauréate de la 4ème Bourse Révélations Emerige.


Ah ! La Belle Vie Numérique !

"Ce n'est pas une exposition qui parle du numérique mais qui montre comment le numérique a changé nos vies, qui parle donc de nos vies modernes." (Fabrice Bousteau, commissaire)


A l’école des sorcières

Issue à la fois des pages noires de l'Histoire et des histoires de notre enfance, la figure de la sorcière pointe de-ci de-là dans l'histoire de l'art, et nous est redonnée aujourd'hui dans cette exposition au CAC La Traverse.


Théo Mercier, nouvel Indiana Jones du musée de l’Homme !

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


8è édition du Festival Circulation(s)

Après le succès de l'année passée, le festival de photographie garde ses fondamentaux gagnants tout en renouvelant son approche autour de la jeune création européenne contemporaine.


Assemblages pour spectacles sans objet au Crédac

Dans "Équation de l'objet trouvé", Breton évoque une promenade avec Alberto Giacometti aux puces de Saint-Ouen. "Un Hasard Objectif"1 lui permit ce jour-là de tomber sur un bois sculpté en cuiller à talon, comblant le manque d'une pantoufle de Cendrillon dont il réclamait en vain un modelage à son ami : il comprend alors que la trouvaille d'objets est révélatrice et symbole, comme le rêve, de désirs cachés, incarnés également par le masque qui séduisit Alberto au cours de la même sortie.


Fondation Calouste-Gulbenkian – Sous les pavés, le désert

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


Ange Leccia, La communauté des images

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


« Thamam Shud », des espaces habités à vivre

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


Tarik Kiswanson dans la diffraction de la sculpture

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


La poétique de l’imaginaire selon Cécile Beau

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


Neil Beloufa : « L’ennemi de mon ennemi »

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


Bianca Bondi : Une exploration de la psyché du monde

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


Jonas Delhaye : Dans l’intimité du paysage

Ouvert à l’automne 2016, après réhabilitation des anciennes tanneries, le centre d’art contemporain Les Tanneries développe une programmation d’expositions, de résidences et d’action culturelle.


L’expérience de la couleur

Bleu céleste, bleu de Sèvres, orange Sottsass, rose Pompadour, rouge sang de bœuf et vert Hyber : Sèvres décline sa palette de couleurs et de matières. Pour cette exposition d’envergure, le musée national de la Céramique a emprunté pas moins de 400 œuvres, issues de diverses collections dont celle du Centre Pompidou. Une joyeuse ode à la couleur et à l’expérience qu’elle en dégage.


Les rencontres d’Artaïs Julien Creuzet

Mardi 13 février à 18h
Fondation Ricard, Paris


Marianne MISPELAËRE : Entretien

Artiste engagée à la triple actualité en ce mois de février, a accepté d’honorer Artaïssime par ce qu’elle tient en plus haute estime : la conversation, depuis la Cité des Arts où elle se trouve en résidence.


Hoël DURET : Too Dumb To Fail

À Gennevilliers, Hoël Duret propose de nous embarquer dans le style paquebot naviguer vers la joie dépressive des croisiéristes : après avoir bien lu son texte introductif - opuscule pitch qui annonce notre mise en abîme, on bascule dans une scénographie entre bande annonce et diorama.


ARCO Madrid, la polémique, le futur incomplet et les collectionneurs !

Outre la polémique générée par les portraits de prisonniers de Santiago Sierra (galerie Helga de Alvear) retirés, ils ont tout de suite trouvé preneur. Une publicité bénéfique pour la fameuse galerie avec des hordes de journalistes à l'affut du verdict pendant plusieurs heures.


Sophie Calle et Serena Carone. Un beau doublé Mesdames les marquises !

Le musée de la Chasse et de la Nature invite Sophie Calle, sous le commissariat de Sonia Voss. Depuis sa rétrospective au Centre Pompidou en 2003, c’est la première présentation muséale en France déployant plusieurs années de création. Construite sur les frontières poreuses de l’autobiographie et du récit fictionnel, son œuvre se construit de poursuite amoureuse - telle une chasse à l’homme -, du regard, de l’altérité, de l’amitié, de la mort.


Braguino. L’île d’Utopie de Clément Cogitore

En 1516 paraît Insula Utopia de Thomas More. En 2017 sortie du film de Clément Cogitore Braguino ou la communauté impossible. Le lien entre eux ? Un lieu qui n’est nulle part, où la stricte égalité devrait règner entre les hommes.


Les quatre artistes nommés pour le Prix Marcel Duchamp

Pour la seconde fois depuis la création du Prix Marcel Duchamp en 2000 par l’ADIAF - Association pour la diffusion internationale de l’art français - les quatre finalistes montreront leurs œuvres pendant deux mois dans la Galerie 4, espace de 600m2 aménagé l’année dernière. Les quatre nommés, choisis par un comité constitué de collectionneurs, sont ensuite soumis à un jury international d’experts afin de sélectionner le lauréat. Cette conjonction d’énergie, portée par le Centre Pompidou les collectionneurs et les galeries, montre l’engagement de tous vis-à-vis d’artistes français ou vivant en France, et ayant acquis une belle maturité dans leur démarche.


Tribew, pour une édition numérique artistique

Lorsque Tribew, maison d’édition numérique, a été créée en 2014, l’intention de son fondateur Louis-Laurent Brétillard, rejoint peu après par Isabelle Muheim, était de permettre à des artistes d’avoir une plus large diffusion de leur travail grâce à l’objet eBook et de couvrir plusieurs champs de l’art.


Les 25 ans du réseau national des Centres d’art contemporain

L'association française de développement des centres d'art contemporain fête, au Palais de Tokyo, ses 25 ans. Soutenue par le ministère de la Culture, elle fédère 51 centres en métropole, au sein d’un réseau favorisant l’accès de tous les publics à la création contemporaine.


14e Biennale de Lyon « Mondes flottants »

La 14e Biennale de Lyon, évènement incontournable de la scène artistique européenne, explore la modernité sous le titre de « Mondes flottants » avec 75 artistes internationaux pour ce deuxième épisode confié à Emma Lavigne, actuelle Directrice du Centre Pompidou Metz.


Le décor à l’envers : Centre Tignous

L’histoire des mutations du 116 - nouvellement rebaptisé Centre Tignous, est le théâtre d’une réflexion sur la vie cachée du bâtiment à la peau de fer rouillé. Les artistes sont invités à construire des embryons de fiction par des pratiques détournées.


Un temps en 74 803 jours ou en 24 heures selon Hicham Berrada

Géo Trouvetout de savantes compositions, Hicham Berrada (1986, Casablanca) nous étonne par ses surgissements de merveilles. Trois pièces inédites, produites par l’abbaye de Maubuisson et une vidéo composent son exposition.


Aux confins du visible et de l’invisible

Caroline Corbasson, diplômée des Beaux-Arts de Paris et de la Saint Martins à Londres, est une exploratrice de l’univers, à la croisée des sciences et de l’art.
Fascinée depuis son enfance par les cieux nocturnes puis plus tardivement par le cosmos et les limites de sa représentation, elle parcourt le monde et n’hésite pas à s’entourer de scientifiques et plus particulièrement d’astrophysiciens.


Arts numériques : Accidents, hasard ou sérendipité

« Le hasard, c’est le contraire de ce qu’on croit qu’est l’art numérique, dont on pense qu’il nous amène au contrôle de tout, à la perfection, mais peut-être que la plus grande perfection, c’est justement que les choses ne soient pas totalement parfaites ? » José-Manuel Gonçalvès


Le corps peut-il résister à Ali Kazma ?

Qui ne se souvient des vidéos Resistance d’Ali Kazma (1971, Istanbul) représentant de la Turquie à la 55è biennale de Venise, 2013, curateur Emre Beykal !


Une île

Telle une île, entre la Seine et le canal, belvédère, le 6b appelle à l’expérience du paysage. Cette exposition a pour point de départ l’environnement de ce lieu de création. Elle prend appui sur la définition de l’île comme utopie, territoire de fantasmes, où tout serait possible.


Un dernier twist avec Malick Sidibé

Depuis sa création en 1984, la Fondation Cartier pour l'art contemporain s'est engagée en faveur des artistes africains, leur offrant une exposition personnelle (citons Chéri Samba, J.D.'Okhai Ojeikere), ou collective (Frédéric Bruly Bouabré, Moke..).


2è édition pour la foire AKAA, Also Known As Africa

Cette 2e édition de la Foire AKAA, consacrée à l’art contemporain et au design africain, est centrée sur une Afrique aux multiples facettes, avec la présence de 38 galeries de 19 pays.


11è Edition de la YIA – Young International Artists Art Fair

Pour la seconde fois depuis la création du Prix Marcel Duchamp en 2000 par l’ADIAF - Association pour la diffusion internationale de l’art français - les quatre finalistes montreront leurs œuvres pendant deux mois dans la Galerie 4, espace de 600m2 aménagé l’année dernière. Les quatre nommés, choisis par un comité constitué de collectionneurs, sont ensuite soumis à un jury international d’experts afin de sélectionner le lauréat. Cette conjonction d’énergie, portée par le Centre Pompidou les collectionneurs et les galeries, montre l’engagement de tous vis-à-vis d’artistes français ou vivant en France, et ayant acquis une belle maturité dans leur démarche.


Le défi de Camille Henrot au Palais de Tokyo

Lion d'Argent à la 55ème Biennale de Venise 2013 pour la vidéo Grosse Fatigue qui mettait en scène l'entropie qui préside à l'histoire de l'univers, Camille Henrot (née à Paris en 1978), investit la totalité du Palais de Tokyo dans le cadre des cartes blanches initiées par Philippe Parreno, suivi de Tino Sehgal. Un challenge à la hauteur des enjeux et questionnements soulevés par ses recherches et compilations foisonnantes.


Agnès Geoffray, de la tension dans les yeux

Un cerf en plein saut, une photo en noir et blanc, floue. Des arbres dans le vent, une femme dans un champ, tout son corps poussé par le vent, jusqu’à ses cheveux, encore plus échevelés. Des images comme venues d’un autre temps… L’univers d’Agnès Geoffray est si plein de troubles et de tension, qu’il semble que tout peut disparaître dans un clignement de paupière.


En forme de vertiges, 4è édition des Révélations Emerige

Révélateur de jeune talents de la scène française, la Bourse, lancée par Laurent Dumas, président du Groupe Emerige, en 2014, fait désormais partie des incontournables étapes pour tout jeune artiste de moins de 35 ans vivant en France et n’ayant pas encore intégré de galerie.


Les filles de Gaïa

« Les filles de Gaïa » réunit cinq femmes artistes, qui s’attachent à représenter le corps et les végétaux. Cette exposition prend appui sur le mythe de Gaïa, figure de la Terre. Elle met en lumière les femmes, mères, qui créent et font naître des formes, des images de nature, ces éléments qui marquent notre vie.


Bertrand LAMARCHE : Théorème fantastique

Bertrand Lamarche s'installe dans l'architecture de la Maréchalerie en commençant par filtrer de rouge médéen la lumière de l'immense baie vitrée de Mansart. Paysage habité de diminutions, grossissements, retournements, boucles, en un mouvement pendulaire perpétuel d’horlogerie, Lamarche réagit à l’utopie historique figée dans le temps. Il rejoue subtilement le monde en nous introduisant à ses amours hétérotopiques: celui pour l’Art Nouveau où l’architectonique s’incarne dans la berce du Caucase qui après un temps de grâce fut stigmatisée par sa phototoxicité mise en lumière par la science- devant une lanterne inactinique elle tournoie telle ZouZou au Bal Nègre.


Johanna CALLE : Abécédaire

L’année de la France-Colombie est l’occasion pour la Maison de l’Amérique latine de mettre à l’honneur Johanna Calle, avec une exposition de dessins littéraires, relayant avec subtilité les causes humaines passées sous silence.

Peintre et traductrice trilingue, l’artiste pense comme Lacan que le langage nous façonne, et considère dés 1994 le Dessin comme véhicule universel pour dessiner la pensée en revisitant subtilement nos grilles de lecture et nous donnant littéralement à voir et à « transpenser » le monde.


Alison KNOWLES : Articulture de poussières

C’est sous les auspices de l’hospitalité que les Grands Magasins hébergent le nouvel espace du Cneai, dont l’un des laboratoires de recherche, Art By Translation, spécialisé dans la notion d’expositions génératives et collaboratives, inaugure avec Fluxus, en réactivant La célèbre Maison de Poussière de la pionnière Alison Knowles...

Alors que Marcel Duchamp l’adouba en lui offrant son dernier Readymade The Coeurs Volants 1967 et après avoir cosigné les Notations 1968 de John Cage, c’est avec l’un de contributeurs majeur de la musique algorithmique et sampling James Tenney qu’en 69, afin de pointer le concept de maison de l’après-guerre comme tacitement genré, elle conçoit le premier poème généré par ordinateur aux 84672 quatrains. Contestant toutefois le déterminisme associé à la technologie, la maternité de cette machine à fictions insuffle au hasard 4 variables au concept de maison via les critères de matière, lieux, d’ éclairage et de style d’habitants, bouleversant ainsi les principes du fonctionnalisme architectural et réfutant toute standardisation et déterminisme.

Ce cut-up mallarméen expérimental devient dès lors l’occasion d’une vastitude post-dada de propositions, démultipliant les pratiques démystifiées par l’indétermination et la dépersonnalisation de l’artiste propres à Fluxus.


Thomas Tronel Gauthier à l’Abbaye d’Annecy

Le travail de Thomas Tronel Gauthier est un travail de chercheur, nourri par ses nombreux voyages à travers le monde. Il mêle attention à la nature, aux hommes et à leurs cultures, interrogations sur nos sociétés, et un souci esthétique constant.


Redécouverte de l’œuvre d’Olivier Debré au CCC OD de Tours

Inauguré le 11 mars, le Centre de Création Contemporaine Olivier Debré est un lieu d'exposition, de conservation et de recherches qui a pour double vocation la valorisation de la donation de l’œuvre du peintre Olivier Debré et le développement de la création contemporaine.


A la découverte de l’Ile de Vassivière

Après avoir serpenté entre prairies, forêts et villages de granit, emprunté le pont passerelle qui surplombe le lac artificiel de Vassivière, nous pénétrons enfin dans cette île de 70 hectares, havre de paix et véritable hymne à l’art et à la nature.


L’Art dans les chapelles, pour une spiritualité contemporaine

L’édition 2017 de L’Art dans les chapelles, sous la direction artistique d’Eric Suchère, dont c’est la première édition en solo, réunit treize artistes, toutes générations confondues, aux pratiques et médiums variés.


Le musée d’arts de Nantes sous le signe de l’art contemporain !

Après un ambitieux chantier de restauration et d'extension confié à l'architecte britannique Stanton Williams, le musée des Beaux-Arts, devenu musée d'arts de Nantes, réouvre ses portes le 23 juin 2017, sous la houlette de Sophie Lévy sa directrice.


Architextures de paysage #1 à Oiron

Planté au bord d'une petite route, au milieu des champs, le château d'Oiron est une exception dans le paysage de l'art contemporain. L'édifice, bâti à partir du XVIè siècle, et maintenant géré par le Centre des Monuments Nationaux, accueille une superbe exposition permanente, issue du Fonds National d'Art Contemporain, de Gloria Friedmann à Bertrand Lavier, Ilya Kabakov ou Wim Delvoye…


FEW : un événement artistique festif

La Fête de l'Eau est un parcours d’art contemporain, une invitation à découvrir des œuvres d’art dans le village et ses alentours. Dès sa création, des projets pédagogiques furent le point de départ d’expériences enrichissantes à la fois pour les artistes et pour les habitants.


Par delà les toits, le ciel étoilé

Auguste Blanqui, enfermé au Fort du taureau, dans la baie de Morlaix, rédige L’Éternité par les astres (1871), rêverie sur le système stellaire, l'infiniment petit et grand, "une méditation sur le caractère mécanique des lois qui régissent l’univers et nos destinées humaines".


« Le Partage des Eaux », du land-art en Ardèche

Comment inscrire une œuvre dans le paysage d’un parc naturel ? C’est à cette question que s’est confronté David Moinard, directeur artistique du "Partage des Eaux", premier parcours d’art contemporain «  à ciel ouvert » dans les Monts d’Ardèche.


Un été contemporain en région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée

Le récent découpage régional conduit à développer de nouvelles synergies autour de l'art contemporain avec des lieux emblématiques et une actualité estivale ambitieuse.


Au FRAC Besançon, Saâdane Afif et Georgina Starr

Œuvre de l’architecte Kengo Kuma, l’ancien entrepôt de Besançon devenu le Frac Franche-Comté opère une boucle temporelle entre la nature et la ville, dans un geste créateur zen.


Artistes belges à plumes et à poils !

Grande première ! Grand saut réussi dans le contemporain au Musée de Flandre à Cassel, plus enclin à présenter la peinture des écoles du Nord.


Le grand tour des 40 ans du Centre Pompidou

Ce sont 40 villes et 75 lieux partenaires qui se mettent au diapason de cet anniversaire emblématique avec une programmation élargie à tout l’hexagone pour vivre au plus près cette utopie partagée.


Croiser pratiques sportives et culturelles ?

Ouvert il y a peu dans l'ancien Hôtel de Joyeuse, le lieu, plusidisciplinaire et ouvert à tous gratuitement, accueille un forum, un espace atelier-bibliothèque-multimédias, une salle de conférence, et un espace d'expositions.


Mêlons tous nos sangs

" Tous, des sang-mêlés " - commissariat de Julie Crenn et Frank Lamy - interroge une notion universelle, source de débats brûlants : l’identité culturelle. Sous le regard de près de 60 artistes, de Soufiane Ababri à Mona Hatoum, de Maryam Jafri à Présence Panchounette, qu’est-ce qui nous rassemble, comment une culture commune malgré des origines diverses se construit-elle?


62e Salon de Montrouge

Cartographie de la jeune création contemporaine, le Salon de Montrouge est un rendez-vous incontournable pour les amateurs d’art contemporain, professionnels ou néophytes.


« L’Infra-media » selon Andrés Ramirez

L’artiste Andres Ramirez, diplômé des Beaux-Arts de Paris et lauréat du Prix YIA 2016, est également danseur de formation et passionné de musique « Noise ». Il mène une réflexion centrée sur le principe de « cadrage-décadrage-recadrage », explorant les rapports entre le cadre, le socle et l’image dans des interventions architectoniques.


Julie Le Toquin, une biographie chevillée au corps

A cheval entre les arts plastiques et la performance, la pratique de Julie Le Toquin, 24 ans, diplômée des Beaux-Arts de Lorient, tourne autour de la perte et de la survivance, où l’intime s’est invité malgré lui.


La Documenta 14 de Kassel

Même si la Documenta 14 en a dérouté plus d’un, elle reste néanmoins un évènement incontournable de notre scène artistique européenne !


The Real World, au SHED

Ouvert en 2015 sous l’impulsion d’un groupe d’artistes et de commissaires d’exposition dans une ancienne usine de mèches à bougies dans la banlieue de Rouen, le SHED est un lieu dédié à l’art contemporain, s’appuyant sur une programmation d’exposition et de résidence.


Cy twombly, ce que le dessin fait à la peinture

«Texture graphique » c’est en ces termes que Roland Barthes, dans la préface au catalogue raisonné de Cy Twombly publié par le galeriste Yvon Lambert en 1979, parle des grandes écritures des années 1966-1970 "ce qui s’impose, ce n’est pas telle ou telle écriture, ni même l’acte d’écriture, c’est l’idée d’une texture graphique".


Une semaine de dessin contemporain

Toujours très attendu par les collectionneurs et un public assidu, le 11ème Salon du Dessin contemporain revient au Carreau du Temple et occupe les deux niveaux de ce merveilleux endroit au cœur du Marais.


Le silence est d’or, pour qui va l’entendre

Depuis 2014, sous l’impulsion de sa nouvelle directrice Juliette Fontaine, le CAPA, Centre d’Arts Plastiques d’Aubervilliers mène un projet radicalement nouveau autour de l’art contemporain sur le site où il est implanté.


installations in situ et vues de paysages à la Couleuvre

Récemment rénové et agrandi, La Couleuvre, espace d'exposition à l'architecture singulière, offre aux artistes l'occasion d'expérimenter, voire de transformer le lieu pour un projet spécifique. Pour ouvrir l'année 2017, une exposition réunit des artistes qui ont disposé chacun d'un espace, pour y installer une œuvre ou en concevoir une.


Circulation (s), l’âge de raison ?

2017 marque la 7e édition pour ce festival de la jeune photographie européenne qui apporte un regard décalé et innovant autour des enjeux et territoires de l'image.


L’art dans la peau. Jean Luc Verna

Qui est Jean-Luc Verna ? Un danseur, un chanteur, un comédien, un plasticien, un dessinateur, un costumier, un photographe, un sculpteur, un bijoutier, un chorégraphe, un performeur, un cinéaste, un musicien ? Jean-Luc Verna (né en 1966) est lui-même une œuvre d'art avec ses tatouages inscrits sur son "corps glorieux qui se fait et se défait".


angela Grauerholz au Centre Culturel Canadien

En parallèle à la publication de sa monographie chez Steidl, le Centre culturel canadien présente une quarantaine de travaux récents de la photographe Angela Grauerholz née à Hambourg en 1952 et résidant à Montréal.


faut-il penser pour que la vidéo existe ?

New Yorkais, Peter Campus (né en 1937) compte parmi les pionniers de la vidéo avec Bruce Nauman, Nam June Paik ou Bill Viola dont il fut l'assistant.


Aucun mythe pour ces contrées de l’esprit, alex Verhaest au CDa

Née en 1985, l'artiste vidéographe belge Alex Verhaest propose des films empreints de mystère, en mêlant la peinture flamande ancienne et les codes des images les plus contemporaines.


Corentin Canesson et Lola Gonzàlez au Credac

Corentin Canesson et Lola Gonzàlez puisent dans le rapport au collectif les ressorts de leur pratique artistique.


Jeanne susplugas, un projet, trois lieux

"La maison malade", "There is no place like Home", "House to house" : il est question chez Jeanne Susplugas de nos projections ambivalentes sur l'habitat, le refuge, le réconfort, mais aussi la solitude et la frustration, à travers de multiples protocoles qu'elle rejoue à chaque lieu investi.


Marelle

Le 116, centre d'art contemporain de Montreuil mène une programmation d'expositions basées sur un ancrage au territoire. Marelle, conçue comme une suite de trois accrochages offre une occasion de découvrir un nouveau format d'exposition.


Le monde sensible d’Emma Bourgin

Cette jeune artiste, diplômée de l’Ecole des Beaux-arts de Caen, a très vite développé dans l’atelier de Gyan Panchal, un intérêt marqué pour les matériaux – pigments et couleurs d’abord puis poussière de pierre et enfin cire d’abeille. Elle cherche à se réapproprier le monde sensible.


La symphonie blanche de Mara fortunatovic

Je découvre l’œuvre de Mara Fortunatovic, jeune artiste diplômée en 2013 des Beaux-Arts de Paris, lors de l’exposition des Félicités « Possibles d’un monde fragmenté » et au 59ème salon de Montrouge en 2014.


Dangerous on-the-way, Mel o’Callaghan au palais de tokyo

Révélée au public parisien par le Palais de Tokyo à l'occasion du festival Do Disturb et de la Nuit Blanche, Mel O'Callaghan (née en 1975 à Sydney, Australie et vivant à Paris) se saisit du corps individuel et collectif comme outil d'observation de rites de passages à travers des films ou performances, endurantes et répétitives.


Dorian Gaudin, quand la machine s’émancipe

Diplômé des Arts Décoratifs, des Beaux-Arts de Paris et de l'école du Fresnoy (59), Dorian Gaudin (franco-américain, né en 1986 à Paris) part à New York et continue à développer des installations à la fois pérennes et transitoires, mettant en oeuvre une ingénierie complexe et interrogeant le potentiel même de la sculpture. 


Les machines joyeuses de Victor Cord’homme

En dernière année d’études à l’Ecole des Beaux-arts de Paris, ce jeune artiste s’inspire de son environnement afin de créer des installations poétiques dans lesquelles il entremêle objets et peintures et où se télescopent différents cadres référentiels. « L’espace immersif est une des clefs de mon travail » m’explique-t-il en préambule.


Nelson Pernisco, artiste nomade aux prises avec la ville

Le caractère nomade de cet artiste, qui déplace son atelier de friche en friche, a contribué à façonner son mode d’approche de la sculpture. Sa pratique artistique, influencée par l’art minimal américain, se développe au travers de sculptures à l’esthétique brutaliste réalisées avec des matériaux récupérés sur les chantiers et squats qu’il occupe.


Bill Viola